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 Une ode au monstre Stanford • PV Victoria Stanford

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James Lindley
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MessageSujet: Une ode au monstre Stanford • PV Victoria Stanford   Une ode au monstre Stanford • PV Victoria Stanford - Page 2 EmptyJeu 6 Avr - 19:11

Rappel du premier message :




  • Type de RP: normal
  • Date du RP : 15 Février 1866
  • Participants : Victoria Stanford
  • Trigger warning : Aucun.
  • Résumé : L'épouse du patron est en proie à un malêtre intense. James découvrant cela au fil du temps et n'appréciant pas vraiment la situation, il décide d'aller voir Victoria, d'essayer de l'aider et de la forcer à manger. Ne laissons jamais une femme dans une situation dans laquelle elle est au plus mal.



Dernière édition par James K. Lindley le Mar 11 Avr - 10:49, édité 1 fois
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Victoria Stanford
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MessageSujet: Re: Une ode au monstre Stanford • PV Victoria Stanford   Une ode au monstre Stanford • PV Victoria Stanford - Page 2 EmptyMer 31 Mai - 23:40




Même avec ce genre de questions, on peut en apprendre un peu sur la personne. Haussant les sourcils, bien peu convaincue, elle manqua de souligner que s’il s’était attendu à cette saison, peut-être aurait-il dû l’inclure dans les choix ? Ou bien ne pas la poser, puisqu’il semblait tant capable de répondre pour elle ? Victoria avait bien grande peine à comprendre le but de ceci, bien qu’elle vît ces questions légères comme un défi autant qu’un jeu lancé par l’homme à ses côtés. Visiblement, sous ses airs sombres et secrets, il était capable de bien des légèretés. Un court instant, même, elle s’interrogea sur la volonté dissimulée dans tout ceci, ne se rappelant que trop rapidement que l’homme avait connaissance des conséquences de la jalousie de son époux.

Alors, ayant su donner une réponse, elle posa sa propre question. Après tout, c’était lui qui avait formulé ces règles et elle ne comptait pas s’attarder sur des banalités, préférant aller droit au but et faire marcher son esprit pourtant fort sous-estimé. Lui demandant alors pourquoi il ne s’en était pas retourné en ses terres natales après avoir découvert la mort de cette personne qu’il était venu retrouver. Visiblement, il n’avait aucune attache envers ses terres natales, davantage curieux de parcourir celles qui furent le lieu de vie de cet être inconnu qu’il chérissait, malgré son décès. « Cela devait être quelqu’un qui comptait véritablement, pour vous. » Ce n’était pas une question, davantage une affirmation factuelle basée sur la déduction de ce qu’elle ressentait alors qu’il parlait de cet personne défunte. Si je devais retourner là-bas, ce serait pour de très bonnes raisons et actuellement, je n’en ai pas. Elle comprenait. San Francisco lui manquait par principe, parce qu’elle avait été le berceau de son existence autant qu’elle abritait les membres de sa famille élargie. Pour autant, depuis son arrivée à Crimson, elle n’avait jugé bon de faire demi-tour, trouvant les raisons toutes moins bonnes les unes que les autres, cherchant à puiser en elle pour affirmer sa force. Les actes récents avaient cependant réveillé ce qui pouvait être une raison suffisante pour s’enfuir.

La marche se poursuivant, elle haussa à nouveau les sourcils quand il revint à la charge avec une autre interrogation toujours plus déroutante. Le dévisageant légèrement, elle rit doucement en offrant ses premiers mots. « Cela va donc vous apprendre… Quel aliment empoisonner pour mieux espérer me faire disparaître ? » Vraiment, pour quelle autre raison pouvait-il s’attarder sur ce genre de détails. Cependant, haussant les épaules, elle répondit. « Je suis friande de ces petits-en cas que l’on peut servir avec le thé. Les fruits ont une douceur fort agréable en bouche. Pour autant… Et même si cela ne s’applique pas à ces derniers jours… J’aime simplement manger, vous savez. J’aime les mets délicats et délicieux. » Soupirant doucement, elle se rappela comme elle avait mis son corps à rude épreuve et comme elle devrait probablement faire face à quelques conséquences allant en ce sens.

Comme c’était à elle de s’enquérir de quelques informations, elle réfléchit un instant, réajustant son manteau alors que la fraîcheur de l’hiver commençait à étreindre sa frêle carcasse. « Pourquoi avoir accepté de travailler pour mon époux ? N’est-ce que l’appât du gain qui vous anime ? » Ou une volonté enfouie de faire ce qui était bien et juste. Même si sauver Ferdinand pouvait, finalement, s’avérer être un crime plus grand encore…


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MessageSujet: Re: Une ode au monstre Stanford • PV Victoria Stanford   Une ode au monstre Stanford • PV Victoria Stanford - Page 2 EmptySam 3 Juin - 18:44




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❝ Who the fuck you think you are ? ❞


« Cela devait être quelqu’un qui comptait véritablement, pour vous. » À ces mots, James ne pouvait que crisper la mâchoire. Cette personne… Il ne l’avait jamais réellement connu. Il n’avait pas pu la regarder dans les yeux, la serrer dans ces bras. L’appeler “maman” comme tout enfant normalement constitué était censé le faire. Même s’il avait ressenti cet amour dans ces lettres, il avait toujours eu un manque dans sa vie et son père avait toujours tout fait pour faire de lui quelqu’un qu’il pourrait contrôler comme bon lui semblait. Mais l’esprit aventurier et désireux de vivre autre chose avait fini par faire surface et le voilà qu’il se retrouvait à devenir le garde du corps d’un Gouverneur et à faire la causette avec l’épouse de celui-ci. Qui aurait pu croire une chose pareille ? Personne. Le ténébreux se massait la nuque, s’il y avait des choses qu’il désirait garder pour lui, bizarrement, pouvoir se confier avait quelque chose qui le soulageait.

Comme si c’était la première fois qu’on désirait réellement écouter ces peines et ces souffrances, sa vie n’avait pas été la meilleure, il estimait en tout cas, n’avoir eu qu’une vie de merde depuis qu’il avait vu le jour. Et pourtant, il ne se plaignait pas, jamais, il se permettait de plaindre son sort, parce qu’il voyait bien, qu’autour de lui, beaucoup souffrait bien plus que lui. Que certaine personne avait vécu des choses bien plus terribles que ce qu’il avait dû supporter en plusieurs années. L’anglais n’était autre qu’une arme qu’on pouvait utiliser à bon escient. Un homme aux compétences dangereuses qui obéirait, dès l’instant où on lui donnerait l’argent qu’il méritait. Mais il avait aussi ce sentiment de vouloir aider et protéger les habitants de cette ville, comme si cela l’aiderait dans sa rédemption. Comme s’il espérait pouvoir s’acheter une place au Paradis, alors qu’il n’était que la création des Enfers. Un lourd soupir s’échappait de ces lèvres, alors qu’il reportait son attention sur la lady, clignant des yeux à ces mots, avant de se mettre à rire. Un rire franc qui n’était pas forcément du plus habituel de la part de l’homme qu’il était.

Je ne suis pas partisan de ce genre de procéder pour se débarrasser de quelqu’un, Milady.” Effectivement, James était bien plus porté sur les lames et les armes à feu que les divers poisons existants dans ce monde. Même s’il avait appris à s’en servir, il préférait tellement le plaisir d’arracher la vie à quelqu’un, sentir sa lame traverser la chaire et le sang se déverser, que de voir quelqu’un agoniser dû à un composé bien précis. Le ténébreux esquissait un sourire en coin, alors qu’il savourait ce petit moment à l’extérieur, sentant la brise fraîche sur son visage, signe qu’il faisait un peu plus froid maintenant que lorsqu’ils étaient sortis de cette immense demeure. La question de la lady n’étonnait pas vraiment l’anglais, qui finissait par s’y attendre à chaque fois qu’il croisait quelqu’un et qu’on se demandait bien les raisons qui animait cet homme. Pourquoi avoir accepté de protéger un homme tel que Ferdinand autrement que pour l’argent qu’il avait à lui offrir ?

Mais il y avait cette ville, ensuite, qui venait à animer Lindley. Il ne savait pas encore pour quelles raisons exactes, il se sentait obligé de vouloir protéger ces habitants, surtout depuis les événements d’Hope Village. Quelque chose avait fini par allumer une flamme au fond de lui, un instant qui perturbait encore l’anglais. “Le fric est toujours une excellente raison pour moi. Il m’offre, actuellement, bien plus que je ne pouvais l’imaginer.” D’autres personnes auraient pu demander ces services, mais James savait que dans les alentours, peu était capable de lui offrir ce que Stanford lui donnait. “Au début, je me foutais pas mal des autres. Le contrat stipule que je dois protéger Ferdinand et sa famille. Rien que ça. Et j’ai appris à discuter avec les personnes travaillant ici. Ensuite, il y a eut les habitants de cette foutue ville. Et Hope Village.” Et Dieu seul savait que James avait fini par décider de faire tout ce qu’il pouvait pour cette ville, ce Manoir et ces habitants, depuis qu’il s’était rendu à Hope Village. Un lourd soupir s’échappait de ces lèvres, alors qu’il niait de la tête. C’était complètement fou de sa part de prendre autant de responsabilités envers des personnes qu’il ne connaissait pas, avec qui il n’avait aucune affinité. “Je continuerais à faire mon travail, celui pour lequel j’ai été engagé, mais j’ai aussi envie de protéger cette ville des types qui risquent d’arriver à tout moment pour commettre un massacre. Je ne suis pas un homme bon, le Paradis, je ne le connaîtrais jamais, mais si je peux me racheter d’une quelconque façon qu’il soit, c’est uniquement de cette façon que je le ferais.” Mourir pour une cause qu’il aurait lui-même décidé. N’était-ce pas la seule chose dont il était capable de faire ? Combattre. Tuer. Si ces compétences pouvaient être utilisées pour une bonne cause, alors, pourquoi pas ? S’il devait mourir à ce moment-là, alors il accepterait la sentence sans se poser de question.

Le ténébreux sentait la fraîcheur de cette journée contre son visage, alors qu’il jetait un coup d’œil vers la lady. “Vous devriez rentrer, Madame. Il commence à faire froid. Je ne serais jamais très loin, alors, si vous désirez continuer à discuter un autre jour, vous n’aurez qu’à me faire appeler.” James ne pouvait qu’offrir à cette femme des petits instants comme celui-ci : de simples petites discussions, qui aidait peut-être cette demoiselle à soulager ces maux.


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MessageSujet: Re: Une ode au monstre Stanford • PV Victoria Stanford   Une ode au monstre Stanford • PV Victoria Stanford - Page 2 EmptySam 10 Juin - 14:58




On disait que le poison était l’arme des femmes. Elle n’aurait pu donner raison à ce principe, trouvant dans le meurtre une abomination sans pareille. Victoria était l’un de ces êtres si doux et innocent pour ce monde qu’elle ne pourrait être que victime et non bourreau. Elle avait le cœur sur la main et sa générosité, à n’en pas douter, finirait par causer sa perte. Elle savait que l’on veillait sur elle aussi, jamais elle ne s’inquiéta de sa propre vie. Ferdinand l’aimait. Ses parents l’aimaient. Qui donc pourrait lui vouloir du mal, au juste ? Evoquant la possibilité que quelqu’un puisse souhaiter l’empoisonner, elle songea un instant à cette mort qui la guettait peut-être, sans même qu’elle ne puisse s’en douter. Elle ne fut pas réellement surprise non plus quand l’homme souligna ne pas être un adepte de ce genre de procédé. Pour autant, elle ne le voyait guère comme un as de la gâchette non plus, s’interrogeant un court instant sur les armes qui pouvaient être sa lubie.

La marche se poursuivit et la jeune femme répondit à son étrange question, posant la sienne en retour pour mieux écouter sa réponse. Le fric est toujours une excellente raison pour moi. Evidemment. Quel homme accepterait ce genre de travail pour moins de billets que ce que Ferdinand pouvait lui donner ? Lui-même reconnaissait qu’il s’agissait là d’une paye supérieure à ses attentes. Elle avait souri, ne sachant que trop bien que c’était aussi là une manière pour son époux de s’assurer une allégeance sans faille. Puis, l’homme poursuivit ses dires. Au début, je me foutais pas mal des autres. Haussant les sourcils, elle releva son regard vers lui, l’écoutant alors qu’il évoquait le contenu de son contrat. Et finalement, l’homme avait su faire fi de la distance pour mieux se montrer attentif aux autres. Une bien belle manière de changer, songea la jeune femme qui sourit avec tendresse. Et, bien qu’attaché à son devoir envers les Stanford, il aspirait même à plus que cela, désireux d’apporter son aide à Crimson. Je ne suis pas un homme bon, le Paradis, je ne le connaitrais jamais. « La rédemption… Ce n’est guère aux Hommes de choisir à qui l’accorder. Votre souhait de vous racheter et toutes vos actions serviront au Seigneur pour mieux voir en vous quel homme vous êtes… Et peut-être, alors, serez-vous surpris de découvrir quelles portes il a à vous ouvrir. » Toute âme pouvait être sauvée. Si elle n’y croyait plus, alors elle devrait faire face à l’impensable séparation entre elle et son époux quand leur dernier souffle viendra. Elle était là pour rendre la foi à son entourage et pour l’aider à s’émanciper de quelques pulsions trop sombres.

Frissonnant légèrement alors qu’une brise légère vint rappeler aux deux promeneurs que l’hiver n’était pas encore achevé, monsieur Lindley suggéra qu’elle ne s’en retourne à ses appartements. Je ne serais jamais très loin. Vous n’aurez qu’à me faire appeler. Elle avait souri, de nouveau, hochant la tête. Cependant, avant de partir, elle s’empara d’une broche qui ornait son manteau. En argent, ornée d’une pierre en ambre en son œil, elle symbolisait un rapace en plein vol. S’approchant de James, elle s’empara de sa main pour mieux la lui glisser entre les doigts. « Je me sens plus en sécurité, sous votre œil avisé, monsieur Lindley. Voyez cela comme une manière de vous remercier pour m’avoir aidé à ne plus craindre ce qui pourrait m’attendre, hors des murs de mes appartements. Et si vous doutez de votre rédemption… Alors rappelez vous que chaque petit geste compte. Y compris celui d’aider une femme désœuvrée à retrouver goût à la vie. » Ses doigts étreignirent les siens un instant puis, doucement, elle tourna les talons, faisant face à l’immense demeure qui était la sienne, prête à affronter ses propres démons.


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MessageSujet: Re: Une ode au monstre Stanford • PV Victoria Stanford   Une ode au monstre Stanford • PV Victoria Stanford - Page 2 EmptyDim 11 Juin - 13:45

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Une ode au monstre Stanford.
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James écoutait cette petite dame, sans sourciller. Elle était beaucoup trop pure pour ce monde et il se demandait encore, parfois, comment elle avait fait pour finir dans ce coin du pays. Si Crimson avait un petit quelque chose qui attirait James, sans réellement savoir pourquoi, il savait que cette femme était présente uniquement dû à son époux. L’Anglais c’était contenter de garder le silence, prenant note de chaque mot qu’elle prononçait à son égare. Si cela avait l’air positif à entendre, que ça pouvait faire du bien, même à une âme aussi sombre que le sien, James avait toujours fini par se dire qu’aucune rédemption ne lui serait accordé. Il n’était pas un fin croyant, malgré que son père l’était, James, c’était différent, il croyait en quelque chose de plus profond, quelque chose dont les mortels n’avaient aucunement conscience.

Si dans son enfance, on lui avait appris les principes d’un crédo bien particulier, tout avait été que mensonge pour utiliser cet homme à des fins plus sombre. Mais la vie faisait faire des rencontres, parfois, faisait qu’on finissait par apprendre des choses qui allait finir par marquer sa vie au plus profond de son être. Ce voyage de Londres à Crimson avait été long, mais il était passé par une étape dans sa vie qui était devenue importante. Même si ce garçon se laissait sombrer dans une solitude que personne ne pourrait réellement supporter. Le ténébreux sourit doucement à la jeune femme, avant que son regard ne finisse sur ces gestes.

Cette broche qu’elle retirait, pour ensuite la mettre dans les mains de l’Assassin. Lindley ne comprenait pas sur le moment. « Je me sens plus en sécurité, sous votre œil avisé, monsieur Lindley. Voyez cela comme une manière de vous remercier pour m’avoir aidé à ne plus craindre ce qui pourrait m’attendre, hors des murs de mes appartements. Et si vous doutez de votre rédemption… Alors rappelez vous que chaque petit geste compte. Y compris celui d’aider une femme désœuvrée à retrouver goût à la vie. » James regardait cette femme, remplit d’une douceur incommensurable. C’était sûrement à cause de ça que le ténébreux avait fini par laisser entrouvrir une faille dans cette dur carapace qu’il portait depuis toutes ces années. Cet homme qui faisait tout pour finir par n’appréciée personne, de garder une distance avec les populations humaines avaient fini par ressentir de l’empathie pour des personnes qu’il n’aurait sans doute jamais côtoyé à une époque de sa vie. Le regard de l’Anglais se posait sur ce petit objet entre ces doigts, alors qu’il était touché par ce petit geste, qui pouvait sembler si infime dans un monde aussi grand, James se rendait vraiment compte qu’il avait fini par apprécier cette femme et que cela l’avait poussé à agir différemment que d’habitude.

Alors qu’il regardait l’épouse Stanford se diriger vers cette grande maison, le jeune homme esquissait un mince sourire, son regard sur le dos de cette femme aussi douce, qui s’éloignait petit à petit. C’était à lui de partir ensuite, se permettant un regard vers le ciel, il se mettait à soupirer lourdement face à la situation, avant de tout simplement se diriger vers cette petite chaumière qui se trouvait sur le domaine : Là où il vivait, qui était devenu le seul endroit où il pouvait se poser. Ce n’était pas chez lui, cette petite maisonnée ne serait jamais chez lui et il se demandait parfois s’il finirait un jour par avoir un véritable chez lui. Un endroit que tout le monde rêverait, un lieu où il serait détendu et où il pourrait même peut-être se permettre d’aimer réellement quelqu’un.

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